« Dans l’espace public, il faut accepter la possibilité exceptionnelle d’une confrontation inédite, brutale, spontanée avec l’art, mais aussi, et dans le même temps, le rejet, l’indifférence, le mépris. »

Guillaume Désanges, Mouvement n°44, juillet/septembre 2007

 

Qu'un travail artistique, susceptible de provoquer la polémique, commence par un éclaircissement des concepts et intentions dont il est le produit, cela est souhaitable. Evitons les malentendus et incompréhensions. Il ne s'agit pas ici de morale ou ni de juger qui que ce soit, mais bien d'essayer de comprendre et de rendre les clés de cette compréhension intelligibles à chacun. Pour que les erreurs du passé ne se reproduisent plus. Pour que chacun ait les armes nécessaires pour se lever et dire « non ».

(texte à mettre en parallèle avec la première vidéo)

En 2005, en mai pour être précis, un samedi alors qu’il faisait beau et chaud, je me lançai dans une entreprise, une expérience à proprement parlé un peu particulière. Je me suis mis sur un socle, droit comme un piquet et muet comme une carpe, équipé d’un casque avec, à quatre mètres devant moi, sur une table montée sur tréteaux, cent vingt oeufs.

Article complet à consulter ici dans :
{la Nuit}
{imagine le journal heureux}
{conteste l’ordre du jour}
{renverse les perspectives}
{ne court pas après l’actualité}
{parle en images et musique}
{désire la liberté}
 

Des artistes ont testé pour nous : à l'occasion, l'être humain le plus charmant ou le plus cultivé peut devenir un monstre. La preuve (désolante) par Marina Abramovic et Jérémie Pujau.

Juste avant de me rendre place de la Victoire, ce samedi 17 mai, une chose ou plutôt une phrase m'avait marqué en regardant la vidéo de votre performance à Angoulême réalisée si ma mémoire est bonne, 3 jours plus tôt.